L’un des plus gros et évident problème de relations humaines que j’ai eu l’occasion d’observer : la peur.
Celle ci ce manifeste souvent dans la paranoïa, où l’individu cherche à valider ses peurs en associant toutes informations avec ses peurs, pour ainsi justifier ces dernière et leur donner vie.
La problématique réside donc à trouver des solutions :
- La première consiste à vérifier par des faits les peurs, craintes ou soupçons.
- La seconde consiste à s’exercer à avoir confiance.
- La troisième consiste à cultiver une forme d’amour bienveillant, sans égo et de façon générale.
Certes, il existe d’autres solutions complémentaire, mais ces trois points sont déjà assez simple à mettre en pratique. C’est en forgeant qu’on devient forgeron, alors il convient de s’exercer à ne plus avoir peur.
Ne plus avoir peur, ou vaincre ses peurs, n’impose pas l’absence de prudence. Bien au contraire, le principe de prudence est associé à l’empirisme, et implique donc à maîtriser les peurs, connaître les conséquences possibles, et agir en fonction.