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La punition de l’absence de soins du corps

Il va sans dire qu’arrivé un âge avancé, et parfois même bien avant, on puisse rencontrer quelques déboires et désagrément lié à la santé du corps. Que ce soit des blessures, des troubles métaboliques, des os brisés ou fragilisés, des muscles insuffisamment forts pour porter le corps, tendances à être psychiquement affaibli, ou à tomber trop fréquemment malade.

Mais tout cela, n’est ce pas finalement une punition pour n’avoir su prendre soin de son corps ?

Alors certes, vous me direz : « mais ce n’est pas de ma faute ». Oui, il existe des facteurs externes que l’on ne pouvait pas maîtriser à une époque où, par exemple, jeunesse associait ignorance et confiance envers les ainés, mais également pour autre exemple les viles tromperies de la société qui n’a que faire de la santé de chacun, lui préférant les bénéfices financier qui ressortent du malheur des gens et de leurs maladies (c’est une autre affaire sur laquelle je ne m’étendrais pas ici).

Cependant, dès lors que l’on a acquis conscience sur ce que l’on peut faire et ne pas faire pour prendre soin de soi, et que l’on persiste dans l’avilissement de soi, du corps et de l’esprit par l’occasion, alors oui on est coupable, et nullement en droit de se plaindre de son malheur; car ce serait le renforcer pour une punition d’autant plus grande.

Il faut garder à l’esprit, et quelques exemples devraient suffire à vous le rappeler, que le corps sait donner l’information à l’esprit, et au mental, l’état dans lequel il est. Comme si on avait un être intérieur garant de cette fameuse santé du corps biologique, harassant ou félicitant lorsqu’il y a lieux de le faire. Pour exemples : un repas trop copieux donneras de la lourdeur, fatigue, difficulté à penser, et parfois des troubles digestifs; manquer de sommeil entrainement de l’inattention, un état chafouin ou bougon, irritable, et peut même être l’enclencheur d’une dépression à force de tirer la corde; au contraires, un repas modéré et équilibré, un sommeil régulier de qualité, contribueront à être de bonne humeur, réfléchi, de prendre de bonnes décisions, et d’améliorer finalement l’individu que nous sommes dans la société humaine.

En complément, surveiller ses pensée induit réciproquement l’état biologique interne qui serait provoqué à l’inverse. Cultiver les bonnes pensée, la paix intérieure, favorise la bonne digestion, là où au contraire les mauvaises, l’agitation, le stress, peuvent y causer des troubles (maux de ventre…).

Il est donc impératif de s’imposer, tout autant que n’importe quelles tâches dans la vie (travail, logis, famille…), des soins du corps et de l’esprit, avec mesure et pondération, pour contribuer à entretenir une bonne santé sur le long terme. Oui, c’est souvent 5, 10, 20 voir 30 ans après qu’on subit les affres des erreurs à ce niveau là. (si ce n’est bien avant, lorsque les excès et autres déséquilibres de vie sont encore plus marqués)

Alors au travail !

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