Toute action prise par un gouvernement humain devrait répondre à cette question :
« Est ce que cette décision sera utile à l’ensemble de la société, et au service de la paix dans le monde ?«
Si non, alors il faut impérativement aboutir à d’autres recherches pour offrir d’autres actions qui, elles, répondront favorablement à cette question toute simple.
L’épanouissement individuel passe impérativement par quelques mineurs sacrifices individuels… encore que ? Bien souvent, au détriment du concept de « liberté absolu », lesdits sacrifices libères de bien des contraintes, et au contraire offrent alors plus de liberté fondamentale à l’essence même de la vie que ledit sacrifice offert en échange. Il convient simplement de s’affranchir de l’individualisme considérant autrui comme l’ennemi, et au contraire embrasser nos autres concitoyens comme rouages des moteurs permettant cette libération individuelle. Le partage des ressources et tâches, là aussi, se doit d’aboutir en cela.
Et qu’en est il des conflits et autres exactions ou comportements répréhensibles par les lois des humains ? Là aussi, il convient de trouver de vrai solutions, et non simplement décider de retirer de la société les éléments majeurs à l’origine de problèmes.Instruire la notion de partage, apprendre à se contenter de ce dont on a besoin, et faire confiance à ce que peut offrir les actions collectives (=>la société); qui ne souffre ni ne manque de rien aura déjà cela de moins comme possibilité, tout du moins d’un point de vue matériel.
La grande question, car elle réside, repose sur les problématique lié au soin de l’esprit, de l’âme, des humains. Oublier que être heureux passe en grande partie par ceux ci serait simplement oublier que l’on est humain, trop souvent en favorisant le virtuel (l’argent et capitalisme, entre autres) au détriment du réel.On recule souvent à la liberté d’expression avant même de comprendre qu’on est soumis au mutisme par le mental.Comment cela ?L’acquis, l’expérience, et l’apprentissage qui impose sournoisement de dire ou ne pas dire certaines choses. Les tabous, ainsi qu’on les nomme, mais pas seulement. L’ignorance joue encore trop souvent en la faveur des préjugés, de conceptions des relations humaines archaïque, et on oublie trop souvent de poser ces quelques questions : – qu’en penses tu de ceci ou cela ? – est ce que tu te sens vraiment bien ? – qu’est ce qui ne va pas, et que faire pour aller mieux ?Tout d’abord, à soi même.Mais à condition d’être honnête ! Hors de question de se la jouer à la Candide ! Et néanmoins, balancer avec d’autres questions aux issues plus positives : – quoi de beau ce jour ? – quelles réussites cette semaine ? Trouvé quelques issus positives à quelques problèmes ? – quelle partie de moi ais je réussi à dompter ? Ais je pu dire quelque chose de gentil à quelqu’un ?
C’est avant tout un travail sur soi, ou sinon se faire aider par des « entraineurs » (ou coach ?) qui offrent pour service de « pratiquer » une autre façon d’être, autant que possible pour être bien en soi et offrir du positif autour de soi. Et peut être offrir un mot de courage à quiconque en ressent le besoin ? (création de cercles vertueux)
Tout cela vous parle ?Mais ce n’est pas « tout ». Une fois apaisé, libéré de certaines contraintes de liberté d’expression, on peut se concentrer sur quelque chose d’important :Le vrai.Qui impose une certaine rectitude, qu’on exprime alors naturellement sur le long terme.La vérité exige un terrain fertile.En effet, trop souvent on la cache en raison des peurs. Peur d’être jugé. Peur d’être grondé. Peur d’être moqué. Peur de décevoir. Peur des conséquences, quelles qu’elles puissent être.Or, bien souvent, laisser germer les fruits des mensonges apportent des résultats bien pires que les cachoteries initiales. N’avez vous pas quelques exemples en tête ?Voilà, il convient donc de travailler sur soi et sur le terrain où on souhaite que « vérité » (culture du vrai) puisse être omniprésente.Une erreur ? Parfais ! Ce sera l’occasion de faire en sorte de ne plus la faire !Une pensée malheureuse ? Parfait ! Examinons là, ses origines, et trouvons lui des pansements !Un mal être ? Parfait ! Exprimons le, et cultivons la joie pour le guérir !
Cela peut paraître simple, mais une fois pris l’habitude, avec une certaine rigueur au début – en clamant « JE REFUSE DE MENTIR A MOI MÊME OU QUICONQUE !!! » par exemple – puis avec un naturel apaisé par la suite. Enfin cela vaut pour quiconque à appris à vivre dans le mensonge, car j’espère qu’il existe un certain nombre qui font l’effort d’être dans le vrai autant que possible.
Cette vérité. Être dans le vrai. Cultiver le vrai. (par opposition à la culture du mensonge et de la tromperie)
Voilà ce que je souhaite pour cette année 2022 !
Que la culture du vrai et du partage se répande partout dans le monde ! Avec, bien entendu, des solutions de paix à la clé ! ✌️??