Une question m’a traversé l’esprit : le potentiel des êtres vivants est il limité ? Comprenez par là qu’il existe un certain nombre d’être vivants que l’on classe selon différentes catégories (virus, être cellulaire eucaryotes, archée, procaryotes). Cependant, chacun est composé de différentes molécules, et à la base de différents atomes.
L’idée serait donc que selon la biodisponibilité, l’être vivant cellulaire en développement d’abord simple puis complexe (usage de la matière pour arriver à sa « maîtrise », de l’atome à l’humain) aurait vocation à avoir une limite relative aux matières (différents atomes) disponibles dans l’univers, ce qui implique donc qu’il existe, en théorie, un nombre fini de créatures vivantes possibles;
A la condition de considérer la vie ayant comme objectif la maîtrise et l’exploitation de la matière, structuré avec rétention empirique, selon différents procédés chimiques proportionnel à la complexité du complexe cellulaire, qui implique que l’être vivant s’adapte selon l’environnement et la matière disponible, et laisse place à la continuité du vivant à d’autres êtres plus ou moins semblable mais toujours en adéquation avec cette loi de « toujours mieux maîtriser la matière selon ce qu’elle a à offrir ».
Selon ce postulat de nombre fini d’être vivants potentiels, et de la relative biodisponibilité, il devient possible de prédire, selon la structure planétaire, d’une approximation du type d’être vivant qui pourraient s’y développer. Mais non seulement cela, mais que l’humain reste le fruit d’un aboutissement vers la perfection de l’être vivant recherchant cette « maîtrise de la matière et de l’environnement ».
Lorsque l’on constate les différentes espèces vivantes sur Terre, avec ces grandes espèces principales comme les mammifères, les ovipares, et reptiles, ou un mélange de tout cela chez l’ornithorynque, qui prouve à lui seul que ces classification ne sont qu’arbitraires et trompeuses.
Voilà un début de pensée à propos, mais il y a bien plus à creuser sur la question… … …